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18 août 2016 4 18 /08 /août /2016 14:23

Sujet Thèmes du jour

"Peut-on vivre heureux sans alcool"

      Compte rendu : 

Les prénoms sont tous des pseudos. 

Lino, se trouve être puni sans alcool, il avait des collègues qui buvaient modérément au bistrot, maintenant il ne peut plus se joindre à eux parce que boivent des demi et lui ne peut pas. Il ne peut jouer 4-21 au bar sans boire, il ne se sent pas de jouer à la belote de comptoir sans consommer de l’alcool.

Il est presque jaloux d’eux.

Il peut arriver à déconner maintenant car il n’a plus le trip.

Sospel, tu parles de ce que tu ne peux plus faire mais tu ne parles pas de tout ce que tu peux faire maintenant.

J.J. a eu les mêmes problèmes que Lino.

Il a vécu très difficilement l’abstinence.

Il a compensé dans le travail.

Son séjour au CALME l’a libérer de toutes ces réticences et c’est à partir de son séjour au CALME qu’il a pu commencer un travail sur lui-même. Après le CALME, il n’avait plus ni angoisse ni médicament.

Sospel, ne veut pas dire qu’il est heureux maintenant, mais il est abstinent. Il faut arriver à faire table rase du passé et accepter sa nouvelle vie.

Il apprend en ce moment à ne plus se projeter dans l’avenir, il avoir que de petits objectifs. Maintenant il a 9 mois d’abstinence.

Henri est moins rigolo, mais il fait des tas de choses qu’il n’aurait pas fait sous emprise alcoolique. Exemple la peinture.

Sospel, il faut se fixer des objectifs raisonnables.

Maintenant il ne prend plus l’abstinence comme une punition.

Nathalie demande à Henri pourquoi il ne se sentait plus rigolo.

Sospel continue son analyse, il n’allait plus vers les autres, il ne se sentait plus à sa place au milieu des autres.

Nathalie, quand elle boit, c’est seule chez elle, elle croit qu’elle a plus d’humour que quand elle ne boit pas.

Patou est à la retraite et sa femme travaille, il s’est alors mis à boire, avant la retraite, il buvait modérément.

Il est plus facile de s’abstenir quand on est en famille.

Albert,  se sent libéré de l’alcool, il a fait le deuil de l’alcool, il a changé de vie, il se baigne tous les matins et il est HEUREUX.

Il ne pense plus à l’alcool.

Dans les derniers moments alcoolisés, toute sa vie s’écroulait, il a même perdu connaissance, et est venu « Le Déclic ». Il ne pouvait plus vivre avec le souvenir de l’expression de son fils lors d’une alcoolisation massive trois ans auparavant.

Claude bis, ça a été très dur, en sortant de cure il aurait voulu reboire normalement, comme tout le monde.

La première année a été un calvaire. Sa psychologue lui a dit qu’il fallait qu’il fasse le deuil de l’alcool et il ne ressentait plus l’alcool festif comme au début de son alcoolisation.

A Annecy il voulait se flinguer, heureusement qu’il y a eu la Turbie avec une presque famille compréhensible.

Annie, a la sortie de cure il y a beaucoup de frustration.

Il n’y a que le temps qui permet d’atténuer ces frustrations et de rester dans l’abstinence.

Maintenant elle se sent libre et ce n’est que du bonheur.

Il lui semble inconcevable de reprendre ne serait-ce qu’un verre d’alcool.

Simone pense que avec ou sans alcool la vie n’est pas rigolote et ne rend pas heureux. Même au travail il n’y a pas d’ambiance agréable. Mais il faut bien y aller. Maintenant, sans alcool, elle peut assumer son travail.

Elle est plus calme. Il est important d’avoir un soutien autour de soi.

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